Le documentaire Enfants Sorciers, fut réalisé par un réalisateur-journaliste du célèbre canal de télévision Radio Canada. Ce journaliste ayant plus de 20 ans d’expertise et d’ancienneté se spécialise habituellement en environnement, histoire, ainsi qu’en enquêtes économiques.

L’enquêter dont nous fait part Radio Canada fut tourner en Afrique, là où plusieurs cas d’enfants sorciers se multiplient de manière exponentielle. Le documentaire nous présente quelques manières et rites servant à se débarrasser de l’esprit malsain qui hante l’enfant et que font certaines personnes pour essayer de leur porter main forte.

Dès les premières image il est tout de suite évident que l’auditeur n’a pas d’autre choix que d’écouter au grand complet le documentaire extrêmement saisissant. Que se soit les images, les entrevues ou les histoires présentées dans ce documentaire, le tout est si bien construit et expliqué afin de sensibiliser le grand publique, qu’après le visionnement du documentaire je ressentais une immense rage et impuissance en moi. Rare sont les documentaire qui réussisses à sensibiliser autant. Le plus touchant fut sans hésitation les images d’enfants ayant, auparavant subit des martyrs soit par leurs parents ou par des exorciseurs pour ensuite être abandonner et laissé à eux même en pleine rue.   

Bref je conseille ce documentaire à quiconque recherche des vérités choquantes et crues à propos des enfants sorciers de l’Afrique.

Cette semaine, les pilotes participants aux essais en Amériques du sud sont bien attristés du retrait de Honda dans la formule 1.

«C'est assez triste, c'est mauvais pour

la Formule

Le géant de l’aéronautique, Bombardier, annonce qu'il double largement ses profits au troisième trimestre, empochant 245 M$ US ou 14 cents par action.

C'est un cent de plus que les prévisions des analystes consultés par Bloomberg.

Il y a 12 mois, la compagnie d’origine montréalaise déclarait des profits de 91 M$.

Pour le troisième trimestre de cette année, le chiffre d'affaires a progressé de 8% à 4,6 G$ US.

En Aéronautique, l'entreprise a augmenté sa marge de profit de 3,5 point à 8,7%. Les livraisons d'avions d'affaires ont été stables à 57 appareils mais les commandes ont reculé de plus de la moitié à 48 avions, et ce en raison de la conjoncture économique.

Bombardier a livré 22 avions commerciaux, un recul du tiers comparativement au même trimestre l'an dernier. Par contre, les nouvelles commandes se sont élevées à 20, contre 12 à la même période il y a un an.

La division Transport a haussé sa marge de profit de 0,9 point à 5,1% mais ses nouvelles commandes de trains et services connexes ont baissé de 10% à 2,8 G$ US.

«Au cours du trimestre, Bombardier Aéronautique a continué d'améliorer sa marge en mettant l'accent sur l'exécution», souligne le PDG Pierre Beaudoin.»

«Afin de répondre aux besoins de leurs clients, ajoute M. Beaudoin, les deux groupes ont continué d'investir dans de nouveaux produits et technologies afin d'enrichir encore davantage leurs portefeuilles.»

Le haut dirigeant préfère toutefois faire preuve de prudence quant aux perspectives à court et moyen termes.

«Bien qu'il soit encore trop tôt pour évaluer l'ampleur et la durée du ralentissement économique et son incidence potentielle sur nos deux secteurs d'activité, dit-il, nous sommes confiants en notre avenir, ayant pris au cours des dernières années des mesures importantes pour renforcer nos activités et notre situation financière.»

D’après les grands dirigeants, les portions de Bombardier dévouées au transport seront moins touchées par la crise, les gouvernements haussant souvent les dépenses d'infrastructure en période de ralentissement économique. «Nous continuons à suivre de près la situation.»

Par ailleurs, le conseil d'administration déclare un dividende trimestriel de 2,5 cents par action. Il est payable le 31 janvier aux actionnaires inscrits aux registres le 16 janvier.

L'action de Bombardier a terminé la séance de mercredi à 3,89 $ à

la Bourse

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Les propriétaires de station de ski accueil l’année 2009 avec grand sourire. Les chutes de neige exceptionnelles qui se sont abattues sur la province l'an dernier ont ravivé la flamme des Québécois pour les sports de glisse. Les ventes d'abonnements saisonniers sont en hausse de 15 à 20%.

Déjà depuis quelques jours plusieurs affamé des sports d’hiver ont commencé à dévaler les pentes. Le mont Saint-Sauveur a été le premier centre de la province à accueillir les skieurs, mercredi dernier, avant même la première tempête de neige. Faute de flocons, une seule piste était accessible... «Mais on voulait absolument être les premiers», a expliqué Alexandra Papineau, responsable des communications au mont Saint-Sauveur.

Le terrain de jeu des skieurs s'agrandira, ce week-end, alors que plusieurs centres ouvriront officiellement leurs portes. Le mont Saint-Sauveur a multiplié par 10 le nombre de pistes ouvertes, et le mont Tremblant en comptait plus d'une vingtaine hier. Même les skieurs de fond pourront se défouler dès samedi au mont Sainte-Anne.

«Il est encore très tôt pour savoir ce qui nous attend, mais la saison s'annonce très bonne, a souligné le porte-parole de l'Association des stations de ski du Québec, Alexis Boyer-Lafontaine. Il n'y a pas de meilleure campagne de publicité qu'une bordée de neige.» Ou qu'une saison record comme celle de l'an dernier.

Plusieurs portes-parole importants ont cdémontré a La Presse, hier, le même enthousiasme. «Le début de saison a rarement été aussi bon», a dit Annick Marseille, de Mont-Tremblant.

En 2007-2008, les centres de ski du Québec ont accueilli 7,1 millions de visiteurs en 175 jours, un record depuis 10 ou 15 ans, selon M. Boyer-Lafontaine, qui a bon espoir de répéter l'exploit cette année en dépit du ralentissement économique. Le Québec est plus accessible pour les Américains, maintenant que le dollar canadien est retombé sous la barre des 90 cents US. Et les centres de ski semblent soudainement plus proches, maintenant qu'un litre d'essence coûte moins de 1$.

Dès demain, environnement Canada va annoncer ses prévision pour la saison en devenir et même si les prédictions ne sont pas de notre coté, il est presque certain que les skieurs ne se décourageront pas. «Ces prévisions sont à si long terme qu'elles sont d'une fiabilité toute relative», a nuancé le météorologue René Héroux.

L'expert prédit avec plus d'aplomb quelques précipitations à court terme. Ainsi, une bordée de neige mêlée de pluie devrait compliquer la vie des automobilistes montréalais demain matin. (405 mots)

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Un hôtel possédant un confort des plus minimal et dépourvu de tout extra possedant une protection à un futur attaque nucléaire: c'est ce que propose un nouveau type d'hôtel en Suisse, inauguré vendredi dans un bunker de la sécurité civile helvétique.

Le soleil s'est couché sur Sevelen, dans l'est de la Suisse. Dans les ruelles sombres et désertes de cette paisible bourgade de 4.400 habitants, il n'y a pas âme qui vive. Pourtant, vers le bunker de la commune, une effervescence atypique trahit une nouvelle attraction: l'hôtel «zéro étoile» lancé par les artistes et frères jumeaux Frank et Patrik Riklin.

Pour 10 à 30 francs suisses (6,6 à 19,8 euros) par nuitée, il offre une des chambres-dortoirs au confort sommaire au touriste de passage.

«Il y a tout de même un choix entre quatre catégories de lits: les simples matelas, lits superposés, lits double et les confortables lits paysans», affirme Patrik, l'un des fondateurs du projet.

En Suisse chaque commune dispose d’un bunker anti-atomique plus ou moins grand dépendant de sa population, un dispositif hérité de la guerre froide destiné à parer à une éventuelle attaque nucléaire.

Depuis l’effondrement du communisme, ces abris sont devenus un poids pour les communes contraintes de les entretenir.

«La commune nous a demandé d'aménager le bunker et nous avons décidé de lancer le concept zéro étoile», poursuit son frère jumeau Frank indiquant que la seule condition était de pouvoir libérer les lieux en 24 heures.

«Nous voulions l'opposé des palaces de Dubaï», précise Patrik assumant la simplicité contre les excès de la société de consommation. D'où l'idée du zéro étoile qui permettait également de ne pas entrer dans le système et la définition de l'endroit comme un «complexe para-hôtelier».

«La fédération hôtelière suisse, ravie, nous a proposé de nous intégrer dans leur fédération, mais nous leur avons répondu qu'ils pouvaient plutôt rejoindre notre concept», raconte encore Frank en riant.

Peter Meier, un récent visiteur, a déjà passé une nuit dans le bunker et il est conquis. «Je ne comprends pas pourquoi les gens s'étonnent que l'on dorme dans un abris anti-atomique, c'est très confortable», assure-t-il, ajoutant que le seul désagrément vient de la ventilation bruyante.

Mais les créateurs du projet ont pensé à tous les détails: outre les serviettes de bain, pantoufles et plaques de chocolat sur les lits, ils ont ajouté des bouchons pour les oreilles.

Artistes depuis quatre ans, les deux frères ont rapidement adopté des réflexes d'entrepreneurs: «nous avons prévu d'ouvrir 12 autres hôtels de ce type en Suisse sous forme de franchise», explique Frank.

Leur site internet (www.null-stern-hotel.ch) a déjà enregistré 50.000 clics depuis quatre semaines et la demande est forte, assurent-ils. (442 mots)

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Dimanche le 23 novembre 2008, huit policiers ont été blessés et dix personnes pris en otages durant un protestation à la suite de la fermeture de sociétés d'épargne pyramidale frauduleuse, a-t-on appris de source policière.

À Orito, dans le département de Putumayo (sud), des habitants retenaient quatre policiers et six autres personnes en les accusant de chercher à voler leur argent, a annoncé le colonel Orlando Polo, responsable de la police locale. L'épargne pyramidale consiste à verser les intérêts promis aux épargnants --dépassant souvent les 150%-- avec l'argent de nouveaux clients. Elle aboutit souvent à la faillite des sociétés qui la pratiquent ou à la fuite des gérants avec les économies de leurs victimes.

La brusque fermeture d’une de ces industrie à la mi-octobre, en colombie, DRFE, puis la fermeture administrative d'une autre, DMG, a entraîné la ruine de centaines de milliers de personnes, jusqu'à deux millions selon certaines estimations, et des manifestations de colère quasi-quotidiennes.

Le 17 octobre, le gouvernement colombien a même décrété «l'état d'urgence économique et sociale» pour lutter contre les conséquences de ces faillites.

Selon le colonel Polo, des représentants du parquet, du médiateur, de la police et du gouverneur du Putumayo étaient en route dimanche à la mi-journée pour tenter de faire libérer les dix personnes retenues en otage, parmi lesquelles des employés d'une de ces sociétés.

Dans la nuit de samedi à dimanche, des centaines de victimes ont également manifesté à Honda (150 km au nord-ouest de Bogota) contre la fermeture de deux filiales de ces sociétés d'épargne frauduleuse. La foule a pris d'assaut leurs magasins et pillé tous les biens qui s'y trouvaient. (271 mots)

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Abandonnée depuis quelques temps, la version SportBack de la Lancer prépare son retour au Canada. La direction de Mitsubishi en fera officiellement l'annonce à l'occasion du 41e salon automobile de Montréal (16 au 25 janvier 2009).

Étroitement dérivée de l'étude éponyme présentée, elle, en 2005, la Sportback devait à l'origine seulement faire carrière en Europe. Visiblement, les plans ont changé.

Dévoilée en avant-première au dernier Mondial de l'Auto de Paris, la Sportback entreprendra sa carrière canadienne à compter du printemps prochain. Son arrivée coïncidera avec celle de la nouvelle Mazda 3 Sport, sa cible avouée. Outre cette dernière, la Lancer Sportback tentera également de détourner le regard (et les dollars) des acheteurs des Subaru Impreza, Volkswagen Rabbit, Hyundai Elantra Touring et autres modèles à hayon offerts sur le marché.

Légèrement plus longue que la berline (+15 mm), la Sportback dispose, une fois sa banquette arrière rabattue, d'un volume utilitaire équivalent à 1 394 litres. Selon les informations obtenues par Monvolant, deux livrées seront inscrites au catalogue des concessionnaires dont une, Ralliart, pour satisfaire les amateurs de performances avec sa mécanique suralimentée par turbocompresseur et son rouage à quatre roues motrices. (190 mots)

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Depuis quelques mois, un publicité de Nissan accompagné su gros bon sens à fait son apparition à la télévision. Ce personnage réussit non seulement à donner la frousse aux dirigeants de l'entreprise, il les convainc d'en offrir plus aux consommateurs, par exemple en abaissant les prix. Et si on se fie à l'annonce récente qu'une version plus basique de la Versa sera vendue à 9990 $ aux États-Unis, le Gros Bon Sens ne tardera pas à faire comprendre aux responsables de la division canadienne que les consommateurs la veulent aussi au Canada et au même prix. 

Aux Etats-Unis, le même modèle offert au Canada possède un plus petit moteur qui lui est plus axé sur l’économie d’essence. Ce quatre cylindres de 1,6 L génère une puissance de 107 chevaux. À titre de comparaison, les modèles vendus chez nous disposent d'un moteur de 1,8 L qui développe 122 chevaux. Au prix de 9990 $ US, il faut aussi oublier l'équipement généreux et la transmission CVT. La Versa de base est offerte chez nos voisins avec une boîte manuelle de série ou à une boîte automatique optionnelle.


Les responsables de la compagnie ont confirmé à L'Auto que cette version économique sera bientôt disponible au pays. Les prix et les détails sur l'équipement seront divulgués sous peu. Sans doute après la prochaine réunion avec le Gros Bon Sens... (225 mots)

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Fusillade sur un campus américain

Lundi le 27 octobre 2008 une autre fusillade eu lieu dans une université américaine. Si nous faisons le total, depuis le début des années 90 plus de 4 accidents de la sorte se sont produits et malgré ce fait aucune mesure n’est mise en places afin de prévenir une autre de ses étranges tragédies. Hier deux personnes sont mortes, imaginez les proches de ces gens qui souffre à l’instant. Un frère, une sœur, un père , une mère, une copine, des amis… Quel sens de l’égoïsme mal placé.

Échangeur Turcot : 500 interventions en un an

Tout d’abord j’aimerais féliciter le gouvernement du Québec pour avoir encore une fois s’être surpasser en matière de résonnement. Pour son entretient, l’échangeur Turcot demande environ 34 millions de dollars par année, maintenant Montréal a décidé de le rebâtir a neuf pour la modique somme de 1,5 milliards de dollars. Au lie de l’avoir rebâtit dès les premiers signes de «vieillesse » ils ont préférer accumuler les coût d’entretient et de réparation à la somme de la reconstruction. Il m’est impossible de savoir si le gouvernement réalise que l’argent qu’il dépense si aisément provient en fait des contribuables, donc de la population elle-même.

La ville de Montréal tente de protéger ses citoyens en baissant les vitesses permises, mais pas avant l'an prochain, affirment les élus municipaux. Maintenant qu'elles ont le feu vert du ministère des Transports, les autorités baisseront dès le printemps prochain la limite de vitesse de 50 à 40 km/h.

Cette tentative cherche à bien sur protéger les citoyens de Montréal et ses environs mais également essayer de faire diminuer le taux de morts en voiture au Québec qui ne semble que s’aggraver d’année en année. Bien sur le gouvernement à pris conscience que cette loi risque d’être quelque peut controversée, surtout avec le Québec qui est réputé pour avoir le plus grand nombre de mauvais conducteurs par faute de l’immense stress présent dans notre société.

Comme il avait parut dans la presse en avril dernier la ville aurait bien aimé pouvoir abaisser la vitesse avant l’année prochaine. Mais l'échéance a finalement été reportée de quelques mois, a indiqué hier le responsable des transports au comité exécutif, André Lavallée.

«Il y a du travail technique, a-t-il indiqué hier, en marge du conseil général de son parti, Union Montréal. Les fonctionnaires de Montréal et de Québec se parlent. J'espère qu'il n'y aura aucun nouveau retard.»

La vitesse de 40 km/h deviendra la limite «par défaut» sur tout le territoire de l'île de Montréal, y compris dans les villes défusionnées. Dorénavant la limite près des parc sera réduite à 30 km/h par contre, Quelques grandes artères seront exclues des nouvelles règles, comme les boulevards René-Lévesque ou de Maisonneuve.

«On ne voulait pas d'une approche arrondissement par arrondissement, ville par ville, parce que c'est difficile à comprendre et à appliquer, a dit M. Lavallée. Pour les policiers, ça créait des problèmes.»

Le conseil d'agglomération, qui rassemble les élus de Montréal et des 15 villes défusionnées, s'est prononcé la semaine dernière en faveur de la nouvelle limite de vitesse, qui a finalement été avalisée par Québec le lendemain.

Les seules oppositions provenaient des représentants de Dollard-Des-Ormeaux du au fait que la présence policière n’est en aucun cas suffisante pour faire respecter ces nouvelles règles.

André Lavallée fait à sa tête et souhaite mettre le plus vite possible cette nouvelle loi en place.

«Il y a eu des oppositions dans le passé, mais nous avons travaillé avec toutes les villes et les arrondissements, a-t-il affirmé. Pour moi, c'est réglé, c'est derrière nous. On a un consensus à 98%, c'est pas mal.»                 (405 mots)

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